Je viens de sweertre la mains dfe mairiu0o pelCHAT. bUT WH0OM ACREASZ.
j AIN BIE B UM, BO9EN MAINGÉ. j'ai âswsé43 yuhnwe ib9ojnne cpoiuøßµ 98→,4eÈk;
ÀJ,3n demande peut çetre tropèé
Non.
Jamais.
P3rsonnr nem peyut demnbder assez.
oirée étaIT ÂRFAITE. dE LA PLUY9OE, ALL I8 CAN HOPÊ FOR.
j'AI PASSÉ UN MOMNE T, FORMAIDABLE ÈA PATAGER MA DTUSOLITUDE.
lA COMPAGNUE DES AUTRES EST LA M4EILLEUTE REUCVB EPOUR S"AVOYER EBNFIN SOLIUTAIRE.
SDHEHE,
SOMEWHAT Y9OUBVE GOT TO ^ROVE YOUSELF YOUR EXISTAING IN SIOME PLAMNE. I MISS UNSTERSATANDI9NG.
i JISDS OUY.
I MISAS A TAÙP.
OCTAVINTG.
AND WHAT NOW HERS.
SAPARJK
GNMJH
IM CIBCERVBEC YOIU AEE,
JUANPI8ECE IS MUISSING
DI9S COYECH...GALS
LProfites en pendant qu,il est encore temps...
Ellipse de temps.
Merde. Je ne suis pas dans la bonne maison.
Côté forme, pas trop pire.
J'émerge.
J'ai écrit une note? Défoncé?...oui...je m'en souviens.
J'hésite. Je me souviens d'une belle fin de soirée, somme toute, avec suffisamment d'attention et de plaisir...mais mon dieu, quel stimulus étrange m'a poussé à écrire ces confuses lignes sans propos?
Je ne m'en formalise pas trop. J'hésite même à supprimer la note. Comprenez moi bien...je relis mon discours qui peu à peu s'apparente à celui du solitaire incompris, qui titube jusqu'à son lit et s'y effondre, oblique. C'est déroutant, j'arrive sans mal à psychanalyser cet être misérablement heureux d'avoir passé une soirée entre amis, et d'avoir tapé maladroitement un texte qui crie à l'existence. Le primate à l'oeuvre.
La solitude contradictoire. Voilà ce qui ressort de l'enfant vulnérable, de mon dénominateur commun. Et évidemment, de la provocation...
Boah. J'ai tout de même réussi à taper un titre de circonstance, maintenant que cette petite rétrospection met les choses en perspective. Et j'ai inventé le mot "Octaving", un gérondif tout à fait absurde. Je m'aime.
...trois énormes pichets de bière à la Voie Maltée, c'est le coût de cette onirique petite analyse. Dans tes dents, Freud!
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