Je ne suis pas d'accord. On ne peux pas être heureux sans la flamme dansante de l'idéal. C'est par l'immobilisme qu'on perd en contraste, éponge réductrice qui séduit les tenants de la simplicité. Laisser couler, je l'ai assez fait pour constater qu'il ne reste d'ordinaire plus rien entre mes doigts.
En suivant des rêves flous, on se perd, ou pire encore: en rêvant au possible, on insulte l'existence. Éloge au conflit intérieur, bon sang, celui qui ravage et déplace des montagnes, éloge à la complexité, à se prendre la tête, à souffrir pour l'intangible. Car tous les rêves rassemblés renferment la finalité de l'être, merci Aristote, t'es pardonné pour ton modèle atomique merdeux.
Prenez donc deux secondes pour vous remettre en question, un m'ment d'né. I'm done.
Une fleur pour le stoïcisme, en ce jour de la terre. Le reste, c'est de l'engrais pour désillusionnés. Faudrait se brancher, tout de même.
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